Equality Triumphs! Women Now Lead World In Clubbing Baby Sealsby Caitlin Johnstone |
Today's Caitlin Johnstone article has been replaced with a breaking news story by the National News Conglomerate. NNC: Obey.
Move over, fellas! The seal fur industry has a new set of industrious cutting-edge leaders, and baby, they wear heels to the office.
In what is being hailed as yet another major advancement for gender equality following women's recent rise to the top of both the military-industrial complex and the CIA, new data indicates that for the first time in history women comprise the majority of seal fur employees paid to bash baby seals in the head with clubs to sell their hides, and four out of the top five CEOs in the industry are female.
"We're not riding in the passenger seat anymore, sisters!" exclaimed Adrianna VanHoven at a recent conference where she was named Chief Executive Officer of leading seal fur exporter KlitchCo Furs, adding, "I am thrilled to be part of an exciting movement towards true gender equality where anyone, whether they identify as male, female or non-binary, can pick up a club and bash an infant seal right in the fucking face for money."
"Yaaaaass queen!" tweeted Senator Elizabeth Warren in response to VanHoven's speech, with a picture of herself holding an unopened bottle of beer to her lips.
Dans le plainte sans cesse réitérée de l'exploitation et des déboires misogynes de l'égalité ( glass ceiling etc.) , il n'est que peu voire pas du tout fait mention des femmes qui, d'une façon tout à fait ostensible l'ont, le pouvoir. Ou l'ont eu ou le convoite avec les mêmes outils de campagne et d'exercice que leurs concurrents mâles.
C'est un peu comme si celles-ci n'étaient " pas les bonnes" à l'horizon des révolutions à effectuer pour la cause, comme si malgré les preuves ,elles aussi ostensible , qui montrent que femme ou homme les liens avec le pouvoir restent identiques, que femme ou homme, le rapport à l'idéologie qui vous promeut ou que vous avez la volonté d'imposer politiquement , reste ce qui marque le rapport au monde, et qu'elles ne comptaient pas suffisamment, ou pas de la bonne manière. Que cette expérience fasse elle aussi partie des ruses et exploitations diverses du patriarcat. Les " vraies" femmes, avec les trainées de sensibilié, de générosité qu'elles pourront enfin exhiber une fois la révolution féministe accomplie ne peuvent pas se référer aux soeurs qui pourtant ont déjà eu à montrer que ce n'est peut-être pas aussi simple, même au prix des victimisations et de la mutité instituée ès. Mais celles-ci, celles qui ont des actes à faire valider, des choix foncièrement antipopulaires à faire valoir sur la toile de l'histoire donc, n'existent nulle part dans les registres de la militance, et surtout les choix politiques qu'elles ont endossés, la corruption où elles se sont plongées ne peuvent en aucun cas être la preuve que femme ou homme, la question du pouvoir reste toujours posée dans les même termes, en termes de classe par exemple, mais aussi en terme d'éthique. Et que cette éthique ne peut être sacrifiée à la foi mauvaise des radicalismes bien pensants même progressistes et identitaires.
Dans le plainte sans cesse réitérée de l'exploitation et des déboires misogynes de l'égalité ( glass ceiling etc.) , il n'est que peu voire pas du tout fait mention des femmes qui, d'une façon tout à fait ostensible l'ont, le pouvoir. Ou l'ont eu ou le convoite avec les mêmes outils de campagne et d'exercice que leurs concurrents mâles.
C'est un peu comme si celles-ci n'étaient " pas les bonnes" à l'horizon des révolutions à effectuer pour la cause, comme si malgré les preuves ,elles aussi ostensible , qui montrent que femme ou homme les liens avec le pouvoir restent identiques, que femme ou homme, le rapport à l'idéologie qui vous promeut ou que vous avez la volonté d'imposer politiquement , reste ce qui marque le rapport au monde, et qu'elles ne comptaient pas suffisamment, ou pas de la bonne manière. Que cette expérience fasse elle aussi partie des ruses et exploitations diverses du patriarcat. Les " vraies" femmes, avec les trainées de sensibilié, de générosité qu'elles pourront enfin exhiber une fois la révolution féministe accomplie ne peuvent pas se référer aux soeurs qui pourtant ont déjà eu à montrer que ce n'est peut-être pas aussi simple, même au prix des victimisations et de la mutité instituée ès. Mais celles-ci, celles qui ont des actes à faire valider, des choix foncièrement antipopulaires à faire valoir sur la toile de l'histoire donc, n'existent nulle part dans les registres de la militance, et surtout les choix politiques qu'elles ont endossés, la corruption où elles se sont plongées ne peuvent en aucun cas être la preuve que femme ou homme, la question du pouvoir reste toujours posée dans les même termes, en termes de classe par exemple, mais aussi en terme d'éthique. Et que cette éthique ne peut être sacrifiée à la foi mauvaise des radicalismes bien pensants même progressistes et identitaires.