3.26.2019

De la musique sur les plaies






En roulant pour rentrer chez moi, j'écoutais cet album si fin, si doux et fort, et sont montées des bouffées d'une colère sans fond, celle qui ne trouve nulle part où s'exiler dehors, à se purger de son lot de toxines, une colère sans fond contre ce que nous subissons de malhonnêteté, de bêtise, de monde sous vide et de folie collective, jamais je n'ai HAÏ autant un élu comme je hais celui-ci et ce qu'il est, ce qu'il dit, ce qu'il pense, son sourire et ses logorrhées et ce qu'il fige de nos vies dans son discours. Le fin et la fin ça a été ses propos condescendants pour Geneviève, cette arrogance sans limite pas même capable, si peu consciente d'elle-même et si engluée dans son miroir et ses artifices moraux et intellectuels qu'elle est devenue ou a toujours été, de COMPARER, donc de relativiser et de rendre un tant soi peu sensé, intelligent son discours. Sa propre femme a 66 ans, 4 ans de moins que cette militante acharnée, mais ça n'éveille aucune réserve dans ses propos comme n'éveille pas, dans sa conviction d'avoir des conseils à donner à tous sur le maintien de la sécurité publique et la nécessité pour un chef d'état débouté par le peuple de PARTIR ce qui se déroule dans le pays dont il est le président. Il est incapable d'APPRENDRE. Et c'est là ou personne ne doit plus jamais imaginer avoir à négocier avec un tel type et tous les mafieux et les tartuffes et les rombières et les poufiasses incultes et incompétents qu'il draine après lui. Et on en pleure, de ce désastre de la pensée, de la morale, de la générosité et de l'intelligence, on en pleure. EG

Petite politique