Le quotidien " Marianne " si fréquemment apologue du tout vaccinal et plus que nuancé sur les décisions carcérales des gouvernements de Davos est entrain de retourner ce qui lui restait de veste et de vouloir donner l'impression d'une grande audace en évoquant maintenant "la psychose collective" dont il faudrait sortir alors qu'il l'a, avec toute cette lie médiatique aussi corrompue que ceux qui la financent, nourrie abondamment pendant tout ce temps.
C'est ce qui va se passer, les hérauts du pouvoir vont lentement, un à un se reprendre et afin de ne pas paraître combattre dans une guerre déjà perdue, se faire passer pour des chantres du système immunitaire et des médecins qui lui ont fait confiance. Ils vont reprendre à leur compte quelques-unes des observations ayant été bannies et remettre en cause la Manipulation globale absolument immonde qui a présidé à tout ce pataquès si destructeur, pas tout, pas tous, bien sûr, les vrais acteurs et décideurs de cette mascarade morbide étant ceux-là même dans la main desquels ils mangent.
Ils vont réhabiliter certains exclus, trouver quelques boucs émissaires à sacrifier puis passer à quelqu'autre sujet de passions tristes dont ils décriront la réalité avec tout autant de parti-pris et de propagande.
Il faudra tout de même un jour, le plus rapidement possible, s'apercevoir que aucun média ne peut être absolument fiable, que nous avons par cette acmé qu'a représenté la crise sanitaire, dépassé complètement les nécessités de faire des choix univoques dans ce qu'on lit, ce qu'on croit ou qui on soutient.
Nous sommes entrés dans une ère de doute critique comme réaction politique de plein droit et comme seule survie intellectuelle possible. Ce qui implique la nécessité de ne plus devoir "choisir son camp", celui-ci étant hélas majoritairement aussi dépravé que celui du voisin, ni de s'appuyer sur une idéologie comme garante de " la" vérité, ni, encore moins , de se replier sur le culte de la personne, posture politique des faibles. EG